Interview du secrétaire d’État Marco Rubio par Ainsley Erhardt, Brian Kilmeade et Lawrence Jones de Fox and Friends

Traduction fournie par le département d'État des États-Unis à titre gracieux Interview du secrétaire d'État Marco Rubio par Ainsley Erhardt, Brian Kilmeade et Lawrence Jones de Fox and Friends Département d'État des États-Unis Marco Rubio, secrétaire d'État Lotte Palace Hotel, New York Le 25 septembre 2025 EXTRAITS QUESTION : Nous accueillons maintenant le secrétaire d'État Marco Rubio. Monsieur le Secrétaire, merci beaucoup d'être avec nous ce matin dans l'émission Fox and Friends. QUESTION : Merci. LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Merci. Bonjour. QUESTION : Monsieur le Secrétaire, nous espérions que vous pourriez nous donner un aperçu. Apparemment, le président souhaite aujourd'hui transmettre son célèbre message de paix par la force à l'ONU. Que pensez-vous qu'il va dire ? LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Eh bien, je pense que l'une des questions que le président va devoir aborder, et qu'il va aborder, concerne l'ONU elle-même, à savoir :  pourquoi avons-nous encore une ONU ?  Elle a un potentiel énorme.  L'ONU est une organisation qui a le potentiel d'accomplir de grandes choses dans le monde, mais elle ne le fait pas.  Si vous prenez la Russie et l'Ukraine, vous voyez qu'une guerre y fait rage. C'est le président qui porte le fardeau d'essayer d'y mettre fin. L'ONU ne joue aucun rôle. Si vous regardez ce qui se passe à Gaza avec le Hamas, et tout ce qui s'est passé là-bas avec Israël qui y est confronté, quel rôle joue l'ONU ? Aucun. Nous allons essayer ici, sur notre continent, près de chez nous, dans un endroit comme Haïti, envahi par des gangs qui contrôlent le pays et déstabilisent la région. Les États-Unis demandent à l'ONU d'intervenir et de jouer un rôle très important. Nous bénéficions d'un large soutien, mais il semble que la Chine pourrait faire obstacle à cet effort. Si c'est le cas, l'ONU ne jouera aucun rôle. Je pense donc que le président va mettre l'ONU au défi de trouver son sens, son objectif et son utilité en tant qu'organisation, car elle ne semble pas faire son travail et est plutôt douée pour dépenser beaucoup d'argent. Je pense que le président va évoquer son passé avec l'ONU, qui remonte à l'époque où il était promoteur immobilier et où il avait proposé de rénover le bâtiment de l'ONU, mais où celle-ci avait choisi une autre option, gaspillé beaucoup d'argent et n'avait pas vraiment atteint les objectifs fixés pour le bâtiment. Je pense que cela illustre bien à quel point l'ONU est devenue inefficace en tant qu'organisation ; c'est juste un endroit où, une fois par an, un groupe de personnes se réunit, prononce des discours et rédige des lettres et des déclarations, mais où peu d'actions importantes et bénéfiques sont menées. Encore une fois, l'ONU a beaucoup de potentiel, mais elle ne le réalise pas pour l'instant. QUESTION : Le dirigeant turc Erdogan s'est entretenu hier avec Bret Baier. Nous avons deux sujets à aborder avec vous à ce sujet, dont l'un concerne la guerre en Russie. Il est fondamentalement indifférent, il apprécie les deux camps. Et à Gaza. Mais il semble s'en prendre au président Trump. Écoutez : (…) QUESTION : Il dit que le président ne fait pas le nécessaire. Il s'agit d'un Allié de l'OTAN. Qu'en pensez-vous ? LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Écoutez, je n'ai pas entendu l'intégralité de l'interview.  Je peux seulement vous dire que sur ces deux questions – dans le cas de la Russie et de l'Ukraine, le seul dirigeant au monde qui ait une chance d'y mettre fin est le président Trump, et c'est pourquoi il y a consacré plus de temps et d'énergie que quiconque. Tous ces autres pays, y compris la Turquie d'ailleurs, nous supplient de nous impliquer. Ils veulent que nous nous impliquions. Écoutez, ces gens vont dire ce qu'ils veulent, mais en définitive, quand ils veulent que quelque chose soit fait, ils viennent – ils veulent venir à la Maison-Blanche. Le président Erdogan vient à la Maison-Blanche cette semaine pour rencontrer le président. Ils viennent tous à la Maison-Blanche, ils veulent tous parler au président Trump, ils veulent tous que le président Trump règle le problème. Donc ils peuvent dire tout ce qu'ils veulent. La vérité, c'est que nous avons des dirigeants – nous avons des réunions aujourd'hui auxquelles des dirigeants nous supplient de participer. Ils appellent et disent : « Est-ce qu'on peut en faire partie ? Est-ce que vous pouvez nous laisser participer ? Pouvez-vous m'accorder cinq minutes pour serrer la main du président ? Il est le dirigeant indispensable dans le monde actuellement. Il est le seul à avoir une chance non seulement de négocier un accord pour mettre fin à la guerre entre la Russie et l'Ukraine, mais aussi d'arrêter la guerre qui fait rage à Gaza et d'obtenir la libération de tous les otages. Je pense qu'il a consacré plus de temps et d'énergie que quiconque dans le monde aux propositions et initiatives de paix, et qu'il a obtenu plus de succès que quiconque dans le monde. On ne lui en attribue pas beaucoup le mérite, mais n'oublions pas que la RDC et le Rwanda étaient en guerre ; c'est le président qui a négocié cela.  L'Azerbaïdjan et l'Arménie : c'est le président qui a permis cela. La Thaïlande et le Cambodge : c'est le président qui a mis fin à cela. L'Inde et le Pakistan. Ce ne sont là que quatre exemples qui me viennent à l'esprit concernant ces derniers mois. Et c'est le président qui a fait cela, pas un autre dirigeant dans le monde et pas l'ONU. Voir le contenu d'origine : https://www.state.gov/releases/office-of-the-spokesperson/2025/09/secretary-of-state-marco-rubio-with-ainsley-erhardt-brian-kilmeade-and-lawrence-jones-of-fox-and-friends/ Nous vous proposons cette traduction à titre gracieux. Seul le texte original en anglais fait foi.

 

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