Tuesday, November 16, 2021

Le leadership renouvelé des États-Unis à Glasgow renforce les ambitions en matière de lutte contre la crise climatique

Department of State United States of America

Traduction fournie par le département d'État des États-Unis à titre gracieux



La Maison-Blanche
Le 13 novembre 2021
Fiche d'information

La communauté internationale propose des mesures innovantes pour bâtir une économie énergétique propre et créer des emplois.

Les États-Unis continueront à faire pression pour que des mesures soient prises au-delà de Glasgow et pour que l'objectif de 1,5 degré Celsius soit maintenu.

Lors de la première journée de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP26), le président Joe Biden a clairement indiqué que Glasgow devait relever les ambitions mondiales au cours de cette décennie décisive pour l'action climatique afin de préserver notre avenir commun. Le président a réaffirmé que la lutte contre la crise climatique exige que l'ensemble de la société, à savoir les communautés, les entreprises, les États, les collectivités locales, les nations tribales et les pays du monde entier, s'unisse pour assurer la prospérité économique, la paix et la sécurité. Le président et les États-Unis ont montré l'exemple en prenant des mesures audacieuses pour réduire les émissions et créer des opportunités économiques au niveau national et international, tout en incitant d'autres pays à en faire autant. Dès le premier jour de son mandat, le président Biden a réintégré l'Accord de Paris, restauré le leadership des États-Unis sur la scène mondiale et rétabli notre position pour faire face à la crise climatique dans notre pays, comme à l'étranger. Il a convoqué le tout premier Sommet des dirigeants sur le climat  qui a affirmé la nécessité d'une coopération et d'une ambition mondiales sans précédent et a organisé un Forum des économies majeures sur l'énergie et le climat dirigé par les États-Unis . Le Congrès a adopté le Bipartisan Infrastructure Deal  du président Biden, qui élargira l'accès à l'eau potable, réalisera des investissements sans précédent dans les infrastructures énergétiques propres et constituera une étape essentielle pour atteindre notre objectif d'une économie à zéro émission nette d'ici 2050. Combinés au Build Back Better Framework, que le président se réjouit également de promulguer en tant que loi, ces investissements qui ne se rencontrent qu'une fois par génération réduiront nos émissions de plus d'une gigatonne au cours de cette décennie, ce qui nous permettra de respecter l'engagement du président Biden de réduire d'ici 2030 les émissions des États-Unis de 50 à 52 % par rapport aux niveaux de 2005 et de libérer tout le potentiel d'une économie énergétique propre qui lutte contre le changement climatique, fait progresser la justice environnementale et crée des emplois syndiqués bien rémunérés.

Aujourd'hui, alors que s'achève la COP26, plus de 190 pays ont conclu les négociations sur un texte qui comprend un engagement mondial à lutter contre la crise climatique et à maintenir à notre portée l'objectif de limiter le réchauffement planétaire à 1,5 degré Celsius. Le texte présente une voie pour accroître les engagements et les actions des pays à partir de l'année prochaine, expose de nouvelles règles de conduite pour l'Accord de Paris qui permettront aux pays de passer de la parole aux actes de manière transparente, et double le montant du soutien accordé aux pays vulnérables pour renforcer leur résilience à la crise. Mais cela n'est pas suffisant. Il reste encore beaucoup de travail à accomplir alors que nous quittons Glasgow pour arriver là où la science nous dit que nous devons être, et les États-Unis continueront de faire pression pour que davantage de progrès soient réalisés, sur leur territoire et à l'étranger, au cours de cette décennie décisive pour l'action climatique.

Alors que les États-Unis se sont engagés dans une diplomatie et un partenariat intensifs avec des pays du monde entier, l'action collective a permis d'accroître l'ambition, l'innovation et l'action mondiales pour lutter contre la crise climatique. À l'issue de la COP26 :

  • 90 % du PIB mondial a désormais des engagements de neutralité climatique et 154 pays ont présenté de nouveaux plans d'action pour le climat visant à réduire les émissions ou « CDN ». En avril, le président Biden a annoncé un nouvel objectif pour les États-Unis, à savoir une réduction de 50 à 52 % de la pollution nette due aux gaz à effet de serre dans l'ensemble de l'économie en 2030 par rapport aux niveaux de 2005, et a convoqué le Sommet des dirigeants sur le climat afin d'obtenir des objectifs plus ambitieux de la part des dirigeants mondiaux.
  • Les États-Unis et l'Union européenne ont annoncé que plus de 100 pays, représentant près de la moitié des émissions mondiales de méthane et près de 70 % du PIB mondial, ont signé l'Engagement mondial concernant le méthane, dont six des dix principaux émetteurs de méthane au monde. Ceci vient compléter le plan d'action des États-Unis pour la réduction des émissions de méthane, des mesures fortes annoncées par le président Biden pour intensifier les actions de l'ensemble du gouvernement afin de réduire considérablement les émissions de méthane aux États-Unis, de diminuer les coûts pour les consommateurs, de protéger les travailleurs et les communautés, de maintenir et de créer des milliers d'emplois syndiqués de haute qualité et de promouvoir l'innovation américaine et la production de nouvelles technologies essentielles.
  • Les pays développés ont réalisé des progrès vers l'objectif visant à mobiliser 100 milliards de dollars pour financer la lutte contre le changement climatique. En avril, le président Biden a publié le tout premier plan de financement international de la lutte contre le changement climatique des États-Unis et a annoncé le quadruplement de la promesse de financement international de la lutte contre le changement climatique des États-Unis lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre, notamment l'engagement le plus important jamais pris par les États-Unis pour réduire les conséquences climatiques sur les personnes les plus vulnérables au changement climatique dans le monde.
  • Les États-Unis ont annoncé leur toute première contribution au Fonds d'adaptation qui, lors de la COP26, a reçu 356 millions de dollars de nouvelles contributions de la part des gouvernements nationaux et régionaux. Le président Biden a annoncé le lancement du Plan présidentiel d'urgence pour l'adaptation et la résilience (PREPARE), une initiative pangouvernementale qui servira de pierre angulaire à la réponse du gouvernement des États-Unis face aux impacts croissants des crises climatiques mondiales afin de renforcer la stabilité mondiale.
  • Vingt-cinq pays, dont les États-Unis, et cinq institutions financières se sont engagés à mettre fin à tout nouveau financement international de l'énergie fossile sans dispositif d'atténuation d'ici à la fin de 2022, sauf dans des circonstances limitées et clairement définies qui sont compatibles avec la limite de réchauffement de 1,5 degré Celsius, réorientant des dizaines de milliards de dollars de financement public et des milliers de milliards de financements privés vers des priorités à faible émission de carbone.
  • Plus de 20 milliards de dollars de nouveaux financements publics et philanthropiques ont été engagés pour aider les pays en développement à abandonner le charbon.
  • Des pays, qui représentent 90 % de la couverture forestière mondiale, se sont engagés à réduire la déforestation à zéro d'ici 2030, soutenus par le plus grand engagement jamais pris de fonds publics pour la conservation des forêts et une feuille de route mondiale visant à rendre durables 75 % des chaînes d'approvisionnement en produits forestiers. Douze pays ont signé l'Engagement mondial en faveur du financement de la forêt, avec un objectif de 12 milliards de dollars pour lutter contre la déforestation. Les États-Unis ont publié le Plan de préservation des forêts mondiales : des puits de carbone essentiels, une initiative pangouvernementale unique en son genre visant à préserver les écosystèmes mondiaux qui servent de puits de carbone essentiels.
  • Les États-Unis ont lancé la First Movers Coalition (Coalition des précurseurs) avec plus de 25 membres fondateurs, dont certaines des plus grandes entreprises du monde issues d'un large éventail de secteurs, avec un pouvoir d'achat de plusieurs centaines de milliards de dollars. Les clubs d'acheteurs réunis par cette initiative créeront une demande d'innovations sur les marchés initiaux dans huit secteurs où la réduction des émissions est nécessaire, à savoir l'acier, le camionnage, le transport maritime, l'aviation, l'aluminium, le béton, les produits chimiques et le captage direct du dioxyde de carbone, qui représentent aujourd'hui plus d'un tiers des émissions de carbone dans le monde et qui devrait augmenter au cours des prochaines décennies.
  • La Chine s'est jointe aux États-Unis, les deux plus grandes économies et les plus gros émetteurs du monde, pour s'engager, dans une nouvelle déclaration commune, à collaborer en vue de renforcer les ambitions pour maintenir à notre portée un réchauffement de 1,5 degré Celsius. Pour la première fois, la Chine s'est engagée à élaborer un plan de lutte contre les émissions de méthane et à accélérer la réduction progressive de ses émissions de charbon.
  • Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Union européenne, la France et l'Allemagne ont annoncé un partenariat avec l'Afrique du Sud pour tracer la voie qui mènera du charbon à l'énergie propre par la création de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les communautés charbonnières sud-africaines. Ce partenariat cherchera à éviter de 1 à 1,5 gigatonne d'émissions au cours des 20 prochaines années afin de soutenir la transition accélérée de l'Afrique du Sud vers une économie à faibles émissions et résiliente au changement climatique. Il vise à mobiliser 8,5 milliards de dollars pour la première phase de financement, par le biais de divers mécanismes, notamment des subventions, des prêts concessionnels, des investissements, le partage de risques et d'autres instruments de mobilisation du secteur privé. Ce partenariat intervient alors que les États-Unis continuent d'intensifier leurs efforts pour investir dans les communautés énergétiques de notre nation, notamment en réalisant le plus gros investissement de l'histoire de l'Amérique pour lutter contre la pollution héritée du passé tout en créant des milliers de nouveaux emplois bien rémunérés dans le cadre du Bipartisan Infrastructure Deal du président.
  • Les États-Unis et les Émirats arabes unis ont lancé l'Agricultural Innovation Mission (Mission d'innovation agricole) aux côtés de plus de 30 pays et de plus de 45 partenaires non gouvernementaux afin d'accroître et d'accélérer l'innovation dans les systèmes agricoles et alimentaires en soutien à l'action climatique. L'initiative a déjà permis de récolter 4 milliards de dollars d'investissements supplémentaires dans l'innovation dans les systèmes agricoles et alimentaires adaptés au climat, les États-Unis prévoyant de mobiliser 1 milliard de dollars sur cinq ans.

Voir le contenu d'origine : https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2021/11/13/fact-sheet-renewed-u-s-leadership-in-glasgow-raises-ambition-to-tackle-climate-crisis/ 

Nous vous proposons cette traduction à titre gracieux. Seul le texte original en anglais fait foi.

 


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