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Interview du secrétaire d’État Marco Rubio par Larry Kudlow, de Fox Business Network

Department of State United States of America

Traduction fournie par le département d'État des États-Unis à titre gracieux



Département d'État des États-Unis
Marco Rubio, secrétaire d'État
Le 6 août 2025
EXTRAITS

QUESTION : Nous sommes très heureux d'accueillir aujourd'hui le secrétaire d'État Marco Rubio. Monsieur le Secrétaire, soyez le bienvenu. Merci d'être venu. Nous vous en sommes très reconnaissants. Il se passe beaucoup de choses aujourd'hui. Les réunions avec la Russie. Permettez-moi de commencer – M. Trump, sur Truth Social : « Mon envoyé spécial, Steve Witkoff… une réunion extrêmement productive avec le président russe Vladimir Poutine. D'importants progrès ont été réalisés ! » Le New York Times et d'autres médias évoquent une réunion, mais on ne sait pas encore s'il s'agit d'une rencontre entre le président Trump et Poutine ni si Zelensky y participe.

Commençons par là. Qu'en est-il, Monsieur le Secrétaire ?

LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Eh bien, Steve s'est rendu à Moscou hier – Steve Witkoff, l'ambassadeur Witkoff – et il a eu une réunion productive au sujet de ce qui a été discuté. Les détails n'avaient peut-être pas été communiqués auparavant quant à certaines idées relatives aux moyens de mettre fin à cette guerre. Il faut rappeler à tout le monde que c'est l'objectif ici. Le président veut mettre fin à la guerre. La réunion a donc été productive en ce sens. Nous devons maintenant continuer d'avancer.

Après avoir été informé à ce sujet aujourd'hui, le président s'est entretenu avec plusieurs dirigeants européens et les a informés de ce qui s'était passé lors des discussions. Nous allons avoir des discussions avec nos alliés européens et avec les Ukrainiens au cours des prochains jours simplement pour voir quels progrès nous pouvons réaliser de ce côté-là. Et puis, si les choses continuent d'avancer, nous espérons que le président aura très bientôt l'occasion de rencontrer Vladimir Poutine et le président Zelensky, à un moment donné, dans un avenir proche, espérons-le, mais il est évident que beaucoup de choses doivent encore se passer avant que cela puisse se produire.

Cependant, j'ai toujours été convaincu – je l'ai toujours dit : d'après moi, pour parvenir à un accord qui mette fin à cette guerre, il va falloir que le président intervienne en fin de processus pour le conclure, comme je l'ai déjà vu faire à maintes reprises, par exemple pour des accords commerciaux. Il faut donc arriver suffisamment près de ce point pour qu'une telle réunion soit productive et utile. Aujourd'hui est un bon jour, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous. Il reste de nombreux obstacles à surmonter, et nous espérons y parvenir au cours des prochains jours et heures, voire des prochaines semaines.

QUESTION : Monsieur le Secrétaire, lorsque Poutine parle de mettre fin à la guerre, pourriez-vous m'éclairer ? Que signifie « mettre fin à la guerre » ? S'agit-il d'un cessez-le-feu, qui a été demandé et qu'il n'a jamais respecté ? D'un retrait des troupes ? Un accord de paix est-il en vue ? Je ne veux pas aller trop vite en besogne, mais je me demande souvent ce que signifie « mettre fin à la guerre » pour Vladimir Poutine.

LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Oui. Sans entrer dans les détails de ce qui a été discuté, car je ne souhaite pas compromettre les progrès réalisés aujourd'hui ni les exagérer, je pense que nous comprenons tous certaines choses. À un moment donné, un cessez-le-feu doit faire partie du processus, parce qu'il est difficile de négocier les détails d'un accord de paix définitif alors que les parties échangent des tirs. Donc, on doit avancer suffisamment, avoir un plan suffisamment clair de la manière dont la guerre va se terminer, pour pouvoir, dans l'idéal, être en position d'instaurer un cessez-le-feu pendant une courte période, et profiter de cette période pour finaliser la cessation de la guerre. Cependant, je pense qu'on a encore beaucoup à faire pour comprendre comment on met fin à la guerre.

Concernant votre deuxième point, je pense que les éléments clés de la cessation de la guerre, dans tous les cas, seront territoriaux. La Russie a pris des zones qu'elle contrôle actuellement, notamment la Crimée, et cela depuis 2014, et d'autres zones dans lesquelles elle a avancé. Et puis, il y a – c'est évident qu'il y a – chaque fois que vous concluez un accord, il y a des concessions à faire ; il y aura des concessions de la part des Russes et, bien sûr, des concessions de la part des Ukrainiens. C'est donc difficile.

C'est difficile. Lorsqu'il y a une guerre et que des personnes sont mortes, par exemple, le camp ukrainien a payé un prix énorme dans cette guerre. Les Russes aussi, mais les Ukrainiens ont payé un lourd tribut dans cette guerre. Ces concessions ne sont pas simples. Il faut également les faire accepter par l'opinion publique de son pays. Mais je pense pouvoir affirmer que tout le monde souhaite que la guerre s'arrête. Quant aux conditions dans lesquelles elle est censée s'arrêter – c'est toujours la partie la plus difficile.

Mais aujourd'hui était un bon jour, mais il reste beaucoup à faire, je ne veux pas exagérer. Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir, mais nous sommes certainement plus proches du but aujourd'hui qu'hier, où nous en étions très loin.

QUESTION : L'ambassadeur Witkoff, Steve Witkoff, revient-il avec une proposition de cessez-le-feu ?

LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Oui.

QUESTION : S'agit-il d'un cessez-le-feu jeudi, vendredi ou lundi ? Est-ce une possibilité ? Cela a-t-il été discuté lors de cette réunion ?

LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT RUBIO : Je ne suis pas en mesure de vous fournir de calendrier précis à ce sujet. La date précise n'a pas été discutée. Mais je pense que nous avons maintenant une meilleure compréhension des conditions dans lesquelles la Russie serait prête à mettre fin à la guerre. Nous devons à présent comparer cela à ce que les Ukrainiens et nos alliés européens, mais surtout les Ukrainiens, bien sûr, sont prêts à accepter. Il s'agit ensuite de voir dans quelle mesure on peut rapprocher ces deux positions. Comment peut-on rapprocher ces deux positions ?

Si nous parvenons à rapprocher suffisamment les conditions acceptables pour les Ukrainiens des conditions acceptables pour les Russes, le président aura alors la possibilité d'organiser une réunion avec Poutine et Zelensky et de tenter de régler la question. Nous devons nous rapprocher davantage de ce point pour que cela se produise. Mais je pense que, pour la première fois, peut-être, depuis le début de cette administration, nous avons des exemples concrets du type de choses que la Russie demanderait pour arrêter la guerre. Nous n'avions pas beaucoup d'éléments de ce type jusqu'à présent. Il est évident que les Ukrainiens ont leur mot à dire. Nous devons rapprocher suffisamment les deux parties et leurs positions pour que le négociateur décisif, le président Trump, puisse intervenir et faire en sorte que cela aboutisse.


Voir le contenu d'origine : https://www.state.gov/releases/office-of-the-spokesperson/2025/08/secretary-of-state-marco-rubio-with-larry-kudlow-of-fox-business-network/
Nous vous proposons cette traduction à titre gracieux. Seul le texte original en anglais fait foi.

 


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